Comme chaque semaine, je vous propose aujourd’hui le debrief sur l’actualité du blog et de la domotique en général, mais également des sujets autours de la maison, de la finance, et la high tech.
Pour ceux qui préfèrent l'écouter, la version Podcast est également disponible ;-)
Deux articles cette semaine pour poursuivre la mise en place d’un environnement de travail pour chez soi, quand on fait du télétravail, ou qu’on est à son compte chez soi par exemple. Après la présentation du bureau Flexispot, qui permet tout aussi bien de travailler assis que debout, je reviens sur les bonnes pratiques pour travailler chez soi. En effet, ce n’est pas parce qu’on travaille de chez soi qu’il faut rester en pyjama toute la journée et travailler sur l’ordinateur portable avachi dans le canapé. Il est important en effet de penser l’ergonomie de son poste de travail à la maison : opter pour un siège confortable, prévoir une surface de travail adaptée, prévoir les périphériques d’entrée nécessaires, positionner correctement l’écran à la bonne hauteur, disposer d’un éclairage adapté, pour limiter la fatigue visuelle, opter pour un casque main libre si on doit souvent répondre au téléphone, et ne pas oublier de faire des pauses ! On peut être extrêmement productif en travaillant de chez soi, il faut juste se faire une routine et être discipliné.
Concernant le siège confortable, un autre article fait le point entre le fauteuil de bureau traditionnel, et le fauteuil gamer. Souvent, les gens pensent que je suis un joueur invétéré, à cause de mon siège gamer. J'ai même déjà eu la réflexion lors d'une réunion en visio, où on apercevait bien sûr le haut de mon fauteuil via la caméra. Pourtant, pour tout vous avouer, j'ai très peu de temps pour jouer. Non, j'ai simplement un fauteuil gamer car ce type de fauteuil apporte de nombreux avantages par rapport à un fauteuil de bureau classique. Passant plus de 8h par jour à mon bureau, le confort est essentiel. Un fauteuil gamer a de nombreux atouts : il est généralement beaucoup plus confortable qu’un fauteuil de bureau du même prix, car un fauteuil gamer est conçu pour résister à une utilisation prolongée, et utilise très souvent de la mousse à mémoire de forme, même dans les premiers tarifs. L’ergonomie est également très complète, puisque la plupart des fauteuils gamer permettent de nombreux réglages : en hauteur, en inclinaison, mais également au niveau des accoudoirs, ce qui est rarement le cas sur un fauteuil de bureau. La plupart des fauteuils gamers sont également fournis avec un coussin pour les lombaires, voir même intègrent un mécanisme dédié directement dans le fauteuil, comme ce qu’on avait pu voir sur le fauteuil SecretLab. D’ailleurs un autre test de ce fabricant est en cours, pour découvrir la gamme 2022.
Enfin, niveau tarif, un fauteuil gamer est souvent plus compétitif étant donné les avantages qu’il apporte : confort et ergonomie. Pour obtenir les mêmes avantages sur un fauteuil de bureau, il faudra souvent mettre plus cher.
Le seul inconvénient que je trouve au fauteuil gamer, c’est son encombrement. Si vous avez une pièce dédiée, ce ne sera pas un soucis, mais un fauteuil gamer dans un salon ne passera pas inapercu.
Le gros test cette semaine, a été la présentation complète du nouveau Roborock S7 MaxV Ultra. Tellement nouveau en fait que le pack présenté n’est même pas encore disponible à la vente, seul le robot est déjà en ligne. Il faudra attendre encore un peu pour la station de vidage automatique, qui devrait être en vente au cours de ce trimestre. J’ai la chance de pouvoir tester ce robot aspirateur en avant première depuis plus d’un mois, et je dois dire qu’il est bluffant. C’est tout simplement le robot aspirateur le plus complet que j’ai eu l’occasion de tester.
Tout d’abord, c’est bien sûr un robot aspirateur, doté d’une puissance de 5100 Pascals. On retrouve dessus les innovations découvertes sur le S6 MaxV, et le S7. A savoir l’intégration d’une caméra et d’intelligence artificielle, en plus du radar à 360°, qui permettent de cartographier tout l’intérieur du logement en 3D, mais également de reconnaitre les différents obstacles. Chaussures avec lacets qui trainent, fils électriques, bancs de bar coniques, jouets, excréments d’animaux, bref ce robot reconnait tout et modifie son comportement en conséquence, afin de ne pas se retrouver piégé. Tournant chaque jour depuis un mois à la maison, je n’ai pas eu à intervenir une seule fois parce qu’il était coincé quelque part. Le nettoyage est méticuleux et efficace.
A noter que la caméra embarquée peut également être utilisée pour surveiller son intérieur : via l’application, il est en effet possible de piloter le robot, de voir ce qui se passe, et même de dialoguer avec les personnes présentes ! Il ne manquerait qu’une fonction lui permettant de faire une ronde automatique de la maison quand on est absent, en nous prévenant par l’envoi d’une photo dès qu’un mouvement est détecté. Ce serait le rêve !
Ce robot est également équipé d’une MOP sonique, comme nous avions déjà vu sur le S7. La serpillère est montée sur un bloc motorisé, qui vibre 3000 fois par minutes, pour décrasser le sol. Avec son réservoir d’eau pour humidifier la MOP, nous avons là un nettoyage beaucoup plus efficace que tous les robots qui se contentent de trainer une serpillère à l’arrière.
Enfin, ce S7 MaxV Ultra est équipé d’une station très complète : elle sert bien sûr à recharger le robot, mais elle approvisionne également le robot en eau propre, récupère l’eau sale du lavage, nettoie la serpillère, et vide même le bac à poussière du robot. C’est la première station qui soit aussi complète, rendant ainsi le robot vraiment autonome pendant plusieurs jours.
Toutefois, toute cette technologie a un cout, car ce pack robot et station frôle les 1400€. Si c’est quasi un sans faute, à ce tarif j’aurai tout de même aimé avoir un lavage un peu plus efficace, car même s’il est beaucoup plus efficace que la plupart des robots équipés d’une Mop, il reste en deça du lavage effectué par un Dreame Bot W10 par exemple, équipé lui de deux serpillères rotatives, qui se montrent plus efficaces pour supprimer les tâches séchées au sol.
Enfin, l’article finance de la semaine a porté sur un placement un peu particulier, puisqu’il s’agit d’investir dans les plantations de cannabis à but médical (donc sans THC, et totalement légal). Plusieurs lecteurs du blog m’avaient parlé en privé de cette société basée à Amsterdam pour avoir mon avis, sans savoir que j’étais déjà dessus. C’est en effet un placement que j’ai démarré l’été dernier, et qui se montre très performant, puisqu’on obtient en moyenne 40% de bénéfices en 108 jours exactement. En fait, l’argent placé sert à la société Juicyfields à lancer la culture de nouvelles plantes chez ses partenaires. 17 partenaires à travers le monde, qui se chargent de la culture du cannabis, pour ensuite revendre la production en Europe et au Canada. Le fonctionnement est très simple, le paiement peut se faire en virement euro ou cryptomonnaies, et il suffit d’attendre ensuite les 108 jours pour toucher les bénéfices de la revente. Un tableau de bord permet de suivre l’avancement des cultures, étapes par étapes.
Si d’un côté le business model tient la route, car c’est un domaine en pleine expansion, et que la société communique beaucoup et est présente sur de nombreux salons, car elle veut devenir leader dans le domaine, quelque zones d’ombres subsistent toutefois quand on fouille un peu.
L’utilisant moi-même depuis plusieurs mois, je peux confirmer que c’est un placement qui rapporte, et qui paye réellement. Malheureusement aucune certitude sur la pérennité de la société, même si celle-ci a des projets pour les dix années à venir. L’avantage, c’est que l’investissement n’est bloqué que 3 mois et demi, et qu’il démarre à 50€. Sur ce type de placement l’important est de pouvoir récupérer rapidement son capital, ce qui est le cas ici. Pour ma part je m’en sers un peu comme une machine à cash rapide : j’ai besoin de faire grossir un peu une somme d’argent pour un autre placement ? Je la place sur Juicyfield, et j’empoche 40% de plus value après trois mois, pour réinvestir ailleurs.
Comme d’habitude, ce n’est pas un conseil financier, juste le partage d’une expérience personnelle. Et comme d’habitude, ne placez sur ce type d’investissement que l’argent dont vous n’avez pas besoin !
Enfin, n'oubliez pas de participer au concours qui est lancé sur le blog jusqu’à la fin du mois, qui met en jeu la station de lavage Yeedi Mop Station ! N’oubliez donc pas de vous inscrire pour participer au tirage au sort !
Les bons plans à ne pas rater
Vous pouvez retrouver des offres très intéressantes ce weekend chez nos partenaires:
Les autres infos à ne pas louper sur le net
Nos collègues ont également publié de nombreux articles très intéressants, que je vous invite à consulter:
- Les atouts d’une installation domotique avec Jeedom Pro KNX, par Domadoo
- Découverte du détecteur de mouvements rideau Zigbee SMaBiT AV2010/14, par Domadoo
- Autour de Jeedom au 1er trimestre 2022, par Jeedom
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- Husqvarna proposera des robots tondeuses sans câble périmétrique en 2023, par Domo Blog
- Test TaHoma switch de SOMFY, par Cachem
- Xiaomi Aqara, moniteur de qualité de l’air compatible Jeedom et eedomus, par Planete Domotique
- Linus®, la serrure connectée de Yale désormais compatible avec Homey, par Planet Sans Fil
- Test Ecovacs Deebot X1 Turbo : un aspirateur-robot laveur de sol plein d’options, par les Numériques
- et bien d'autres news à retrouver sur Actualité Domotique
Pour information le blog et le podcast font une pause de deux semaines, je prend un peu de vacances. Enfin, pour déboiser mon terrain de loisir, et en profiter pour faire l’installation photovoltaique, afin d’être autonome en électricité (et qui donnera lieu à un prochain article complet).
Sur ce, je vous souhaite donc à tous un excellent weekend, et de bonnes vacances si vous y êtes aussi !
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