Évolution du prix de l’électricité au 1 août 2025: baisse du kWh, augmentation de l’abonnement, qui en sortira gagnant ?

Une nouvelle augmentation de la facture d’électricité à venir en aout ? Oui. Encore ! L’annonce de la double évolution tarifaire de l’électricité au 1er août 2025 va venir encore bousculer le budget des consommateurs français. Alors que le prix de l’électricité occupe une place centrale dans le pouvoir d’achat, cette reconfiguration bouleverse tant les habitudes que les stratégies de gestion énergétique. Concrètement, l’abonnement annuel grimpe de 13 %, alors même que le prix du kWh recule d’environ 2 %. Au-delà des chiffres, cette réforme s’attache à rééquilibrer la structure de la facture électrique, redistribuant subtilement la charge entre petits et gros consommateurs. Pour beaucoup, comprendre ce nouvel équilibre entre hausse d’abonnement et baisse du kWh devient essentiel pour anticiper le coût réel de l’électricité. Derrière ces chiffres, se cachent des choix politiques, fiscaux, et des arbitrages entre fiscalité, transition énergétique et régulation européenne. Enquête argumentée sur une réforme qui rebat les cartes de la facture d’électricité des Français et met en lumière les nouveaux gagnants et perdants de l’énergie de demain.

Hausse du prix de l’électricité en août 2025 : double évolution tarifaire annoncée en France

L’abonnement annuel grimpe de 13 %

La hausse de 13 % de l’abonnement électrique au 1er août 2025 s’explique principalement par une révision de la structure fiscale, décidée par le gouvernement dans le cadre de l’ajustement post-bouclier tarifaire. Le principal levier repose sur la TVA, qui passe de 5,5 % à 20 % sur la part fixe de l’abonnement, dans un objectif d’harmonisation avec d’autres biens de consommation, afin de limiter les distorsions fiscales entre secteurs. Cette augmentation permet aussi de financer le développement des réseaux et de soutenir les investissements nécessaires à la modernisation des infrastructures électriques.

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La réforme vise quatre finalités majeures :

  • Assurer la viabilité économique du réseau d’électricité, via une contribution accrue des usagers, même faiblement consommateurs ;
  • Rééquilibrer la facture en allégeant la pression sur le kWh pour stimuler l’électrification (notamment chauffage et mobilité) ;
  • Mieux répartir le coût de la disponibilité du réseau, chaque client payant davantage pour la “place” qu’il occupe, même à faible usage ;
  • Adaptation réglementaire voulue par le gouvernement pour intégrer la fin progressive du bouclier tarifaire et préparer la convergence européenne.

Pour beaucoup de Français, la hausse de l’abonnement peut surprendre. Pourtant, cette stratégie avait été évoquée précédemment par le Ministère de la Transition Écologique et la CRE, face à la nécessité d’assurer l’adaptation du réseau Enedis aux nouveaux usages : bornes de recharge Primeo, autoconsommation, etc.

Baisse du prix du kWh : quelles raisons fiscales et quel impact sur la facture ?

Parallèlement à la revalorisation de l’abonnement, la baisse du prix du kWh (environ -2 %) découle d’un double mouvement sur les prélèvements :

  • La réduction de l’accise sur l’électricité, un impôt indirect récemment requalifié à la place de la CSPE, a permis cet allègement fiscal ;
  • La légère baisse du TURPE (Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Électricité), qui reflète la modération des coûts d’acheminement décidée par la CRE et validée par Bruno Le Maire.

On retrouve ici la volonté de privilégier les usages “volumiques” de l’électricité – chauffage, mobilité électrique – pour soutenir la transition énergétique, tout en évitant de trop pénaliser la compétitivité industrielle. Pour les clients à forte consommation, la baisse du coût du kWh sur une part significative de la facture s’avère donc intéressante, coopération stratégique entre EDF et régulateur à l’appui.

Cette évolution trouve aussi son origine dans la structure du marché européen, l’objectif étant d’aligner le signal-prix pour limiter l’écart avec l’Allemagne ou l’Espagne, tout en évitant la volatilité extrême du marché de gros.

La baisse du kWh rend bien plus attractifs les chauffages électriques performants, la voiture rechargeable à domicile, ou encore la pompe à chaleur pour les logements principaux.

Données chiffrées : l’effet concret pour un ménage moyen avec compteur 6 kVA

L’impact de cette double évolution se mesure surtout pour le profil standard du “ménage français moyen”. Aujourd’hui, la majorité des foyers sont équipés d’un compteur 6 kVA, le plus répandu en France.

Poste de la factureAvant réformeAprès réformeVariation
Abonnement annuel (6 kVA, option Base)151,2 €171 €+13,1 %
Prix du kWh (Base)0,2516 €/kWh0,246 €/kWh-2,2 %
Facture annuelle moyenne (4 200 kWh)1 258 €1 263 €+0,4 %
  • Pour la plupart des ménages, la variation reste ainsi inférieure à 1 % de la facture totale.
  • La hausse d’abonnement pèse plus pour ceux qui consomment peu, et inversement.
  • Les bénéficiaires principaux sont les familles “tout électrique” et les structures à forte utilisation (voir ci-dessous pour le détail).

Pour un foyer moyen, cette réforme se traduit par une quasi-stabilité de la facture grâce au jeu de vases communicants entre abonnement et prix du kWh.

Conséquences contrastées : qui paie plus cher l’électricité en 2025, qui en profite ?

Hausse de l’abonnement : pourquoi les petits consommateurs sont les plus pénalisés

La structure tarifaire revue défavorise certains profils. Avec une hausse marquée de l’abonnement, les usagers dont la consommation est basse voient la part fixe prendre une place démesurée dans leur facture d’électricité. Cela pose des problèmes d’équité pour :

  • Les détenteurs de résidences secondaires sous-utilisées, qui paient quasiment la même part fixe que les gros foyers.
  • Les étudiants ou personnes seuls occupant de petits studios ou logements bien isolés, consommant souvent moins de 2 000 kWh/an.
  • Les locations saisonnières ou établissements commerciaux fermés une partie de l’année.

Cette stratégie, bien qu’économiquement rationnelle pour le système, interpelle sur le plan social et environnemental. Le coût d’entrée pour un accès au réseau, même pour un faible usage, devient relativement élevé.

Pour ces profils, la hausse de l’abonnement annule plus que la baisse du kWh :

  • Effet ciseau : en consommant peu, il devient presque impossible d’amortir la part fixe supplémentaire par une économie sur le kWh.
  • Les plus faibles consommateurs assument donc la dynamique la moins favorable.

La logique du “pollueur-payeur” s’inverse, l’accès au réseau pesant plus que le volume réellement consommé.

Exemples : résidence secondaire et étudiants en studio

ProfilConsommation annuelleVariation de la factureExplication
Résidence secondaire800 kWh+9 %L’abonnement devient prépondérant, la baisse du kWh ne compense pas
Étudiant en studio1 200 kWh+7 %Même logique, faible usage mais coût fixe élevé

En zone rurale ou touristique, cette hausse suscite l’incompréhension et relance le débat sur la tarification saisonnière ou l’option Tempo.

Baisse du kWh : une opportunité pour les familles et foyers fortement électrisés

Face à cela, ceux qui ont opté pour une forte électrification (chauffage, hotte écologique, cuisine à induction, recharge Primeo, etc.) profitent de la baisse du prix du kWh sur la majorité de leur consommation. Ce rééquilibrage avantage clairement :

  • Les familles installées en maisons “tout électrique”, surtout en province où les surfaces sont vastes.
  • Les ménages équipés de véhicules électriques ou d’une pompe à chaleur performante.
  • Les foyers bénéficiant d’une piscine ou d’appareils électroménagers énergivores.

Leur facture présente souvent plus de 80 % de coûts variables, alors que l’abonnement représente une part bien plus modeste. Ainsi, la baisse du kWh atténue, voire neutralise l’impact de la hausse d’abonnement.

  • À partir d’environ 6 000 kWh/an, la réforme se traduit par une stabilité, voire une économie sensible.
  • Le taux d’effort énergétique diminue pour ceux qui combinent plusieurs usages lourds (voitures électriques et pompe à chaleur).
  • Pour les chauffages électriques directs, l’effet dépend de l’efficacité énergétique et du prix d’achat initial.

La transformation de la structure favorise la transition énergétique et récompense les “gros” utilisateurs qui optent pour l’électromobilité ou la rénovation thermique.

Exemples : maison tout électrique, voiture électrique, piscine

ProfilConsommation annuelleVariation de la factureExplication
Maison tout électrique8 500 kWh-1,5 %La part variable baissant, l’économie dépasse la hausse d’abonnement
Foyer avec voiture électrique12 000 kWh-2,8 %Avantage maximal, surtout pour la mobilité électrifiée
Maison avec piscine11 000 kWh-2 %La filtration et la pompe fonctionnent à coût réduit

L’impact est d’autant plus positif que la superficie du logement ou les équipements gourmands sont importants. Dans le contexte de la transition énergétique, ces profils sont clairement encouragés.

Pour les consommateurs engagés dans l’électrification, la réforme devient un accélérateur d’économie et de compétitivité énergétique.

Zoom sur la composition des nouveaux tarifs d’électricité en France en 2025

TVA, TURPE, accise : décryptage des taxes et contributions dans la nouvelle tarification

La facture d’électricité française est composée d’une mosaïque de prix libres ou régulés, et de multiples prélèvements :

  • TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée), désormais uniformisée à 20 % sur l’abonnement, à 5,5 % sur le kWh (part variable) ;
  • TURPE, fixé par la CRE, finance l’entretien et le développement du réseau (Enedis, RTE) ;
  • Accise sur l’électricité (ex-CSPE), désormais ajustée par le gouvernement, qui finance en partie les énergies renouvelables et certaines missions de service public ;
  • CTA (Contribution Tarifaire d’Acheminement), part minoritaire mais obligatoire ;
  • Prix HT de l’énergie, fixé selon les contrats et les marchés.

La réforme de 2025 allège spécifiquement l’accise et ajuste le TURPE à la baisse, alors que la TVA sur l’abonnement bondit. Ce mix évolue selon les décisions de la CRE, du gouvernement et, plus en amont, d’accords européens.

L’interaction entre fiscalité directe (accise) et indirecte (TVA) façonne une facture complexe, mais dont le signal-prix devient plus favorable à la consommation électrique raisonnée.

Tarifs réglementés : options Base, Heures Pleines/Creuses, Tempo et EJP à l’épreuve de la réforme

Les tarifs réglementés, partout en France, restent proposés par EDF et quelques ELD (Entreprises Locales de Distribution) à la faveur de la régulation nationale. Les principales options sont :

  • Option Base : un seul prix du kWh, stable toute l’année ;
  • Heures Pleines/Heures Creuses : prix du kWh réduit 8 heures par nuit, abonnement légèrement supérieur ;
  • Tempo : alternance de jours bleus, blancs et rouges, tarif du kWh très variable ;
  • EJP : ancienne structure, aujourd’hui en extinction, avec 22 jours “de pointe” au tarif élevé.

En 2025, la réforme impacte spécialement l’option Base, mais toutes voient leur abonnement progresser. Les écarts entre tarifs pleins et creux sont resserrés, encourageant les consommateurs à optimiser leurs horaires ou à piloter la consommation.

Un tableau simplifié permet de visualiser l’écart :

OptionAbonnement annuel (6 kVA)Prix du kWh (heures pleines)Prix du kWh (heures creuses)
Base171 €0,246 €
HP/HC196 €0,263 €0,182 €
Tempo181 €de 0,154 à 0,774 €de 0,114 à 0,248 €

Rôle et fonctionnement de la CRE dans la révision semestrielle des prix

La CRE (Commission de régulation de l’énergie), instance indépendante, propose tous les six mois des ajustements sur les tarifs réglementés proposés par EDF. Ses décisions reposent sur l’évolution des coûts de production, d’acheminement (TURPE), de taxes, mais aussi du contexte européen et des besoins du réseau.

  • Le gouvernement conserve un pouvoir d’orientation mais le rôle de la CRE est technique, piloté notamment par des experts (Aurian de Maupeou a récemment souligné la nécessité d’une “pédagogie active” auprès des consommateurs).
  • L’ajustement des tarifs est devenu semestriel pour davantage coller à la réalité du marché et éviter les chocs brutaux.
  • Des simulations sont menées pour garantir la soutenabilité pour EDF et la compétitivité des ménages français.

La CRE, par ses arbitrages, façonne les grandes tendances de la facture électrique – articulation entre sécurité d’approvisionnement et pouvoir d’achat.

Contexte, perspectives et conseils pratiques face à l’évolution des prix de l’électricité

Du bouclier tarifaire à 2025 : comprendre l’historique récent des hausses et baisses

Depuis 2022, la hausse des prix de l’électricité s’est accélérée, malgré le fameux bouclier tarifaire instauré par le gouvernement pour protéger les ménages face à la crise énergétique européenne (voir l’historique ici). Entre 2021 et 2024, le tarif réglementé a progressé de près de 38 %, rattrapant une décennie de stagnation tarifaire. En février 2025, la France a connu une baisse exceptionnelle de 15 % – parenthèse liée au reflux des prix mondiaux du gaz et à la réouverture de plusieurs réacteurs nucléaires.

  • L’impact du bouclier a permis d’atténuer des hausses spectaculaires constatées en Allemagne ou en Espagne.
  • Le retour à la normale financière d’EDF et la fin du dispositif entraînent aujourd’hui de nouveaux arbitrages budgétaires.

L’après-bouclier s’accompagne donc d’une redistribution des charges fiscales et d’une plus forte volatilité des tarifs réglementés.

Facteurs d’évolution future : fin de l’ARENH, transition énergétique et marchés européens

Les perspectives de prix de l’électricité en France restent étroitement liées à plusieurs facteurs de fond :

  • La sortie progressive de l’ARENH (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique), qui poussait EDF à vendre à prix modique une partie de sa production à ses concurrents. Sa disparition devrait mécaniquement tirer les prix vers le haut.
  • L’augmentation demandée des investissements dans le parc nucléaire et le renouvelable ; le coût du mégawattheure sortant d’EPR nouveaux étant plus élevé.
  • La hausse attendue du TURPE pour financer le déploiement du réseau électrique intelligent (Enedis) et des interconnexions européennes.
  • La probable montée des taxes pour soutenir la transition énergétique et égaliser le prix par rapport aux carburants fossiles.
  • L’évolution des marchés de gros : la volatilité européenne incite à l’indexation sur le coût marginal.

Selon des experts consultés par Connaissance des Énergies ou Boursorama, le prix de l’électricité devrait rester sous tension au moins jusqu’à la fin des contrats historiques de génération nucléaire.

Le vieillissement du parc, la pression réglementaire climatique et la compétition européenne structurent un horizon durablement incertain.

Pourquoi le prix du gaz influence celui de l’électricité en France

Beaucoup de consommateurs s’interrogent sur le lien entre gaz et électricité. En France, comme en Europe, la règle du “coût marginal” gouverne souvent le prix de l’électricité sur le marché de gros. Autrement dit, le prix du kWh est calqué sur le coût de production de la dernière centrale appelée, souvent à gaz (ou charbon), lors des pics de demande.

  • Lorsque le gaz flambe, la production électrique suit mécaniquement, y compris pour un pays majoritairement nucléaire comme la France.
  • Cela conditionne les tarifs réglementés proposés par EDF et adoptés par la CRE.

En 2022 et 2023, la crise énergétique ukrainienne a provoqué une envolée conjointe des prix du gaz et de l’électricité, illustrant la forte corrélation entre les deux énergies.

Pour les consommateurs, le retour à un équilibre gazier européen est essentiel pour garantir une stabilité durable des factures électriques.

Mesures gouvernementales pour accompagner les ménages face aux hausses de l’électricité

Face à la croissance parfois brutale des tarifs d’électricité, le gouvernement a multiplié les mesures d’atténuation et d’accompagnement :

  • Bouclier tarifaire : limitation des hausses, compensation versée à EDF pour supporter le surcoût ;
  • Chèque énergie : aide annuelle allant de 48 à 277 €, ciblée sur les foyers modestes ;
  • Incitations à la rénovation énergétique : MaPrimeRénov’, aides locales pour les travaux d’isolation ou d’électrification des modes de chauffage ;
  • Information et pilotage : généralisation des compteurs Linky pour suivre et maîtriser en temps réel sa consommation énergétique.

D’autres dispositifs, suggérés par le gouvernement et la CRE, pourraient émerger, notamment pour les petites entreprises ou les copropriétés fragiles.

Le filet social énergétique se densifie, mais suppose que chaque consommateur s’informe activement pour en bénéficier.

Incidences économiques et sociales : impact sur le budget énergie et gestion de la consommation

Pour les ménages, la hausse de l’abonnement et la baisse du kWh impliquent de nouveaux réflexes de gestion : la structure de la facture d’électricité devient plus fixe, un changement qui exige anticipation et comparaison régulière. Les impacts principaux se concrétisent ainsi :

  • Le budget énergie annuel devient plus prévisible mais moins compressible pour les “petits” consommateurs.
  • On observe un encouragement clair à l’optimisation des équipements électriques (programmation de chauffage, délestage, pilotage d’appareils). La domotique y joue d’ailleurs un rôle important.
  • Les ménages doivent s’informer sur les offres existantes, qu’elles soient au tarif réglementé (EDF), indexées ou à prix fixe.
ProfilHausse ou Baisse annuellePart d’abonnement dans la factureConseil de gestion
Petit consommateur+7 à +9 %Presque 30 %Isoler le logement, surveiller son abonnement
Ménage moyen+0,4 %Env. 13,5 %Piloter la consommation en heures creuses
Gros consommateur-1,5 à -2,8 %Moins de 8 %Passer sur option Tempo ou charger VE la nuit

L’accompagnement social et la pédagogie deviennent donc clés pour éviter qu’une structure tarifaire plus “solide” ne creuse les inégalités énergétiques, tout en accélérant la transition verte.

FAQ – Questions fréquentes sur la hausse de l’électricité en août 2025

  • La hausse de l’abonnement s’applique-t-elle à tous les contrats d’électricité ?
    Oui, tous les contrats au tarif réglementé (offre EDF, ELD) et la plupart des offres de marché verront leur part fixe augmenter, suite à la revalorisation de la TVA et à l’ajustement des taxes ; le détail peut varier entre les fournisseurs.
  • Comment savoir si mon foyer bénéficiera de la baisse du kWh ou sera pénalisé par la hausse de l’abonnement ?
    Les foyers à forte consommation (>6 000 kWh/an) verront leur facture baisser ou rester stable, alors que les petits consommateurs (étudiants, résidences secondaires) subiront une hausse de 7 à 9 %. Un simulateur ou un bilan sur Picbleu offre une estimation précise.
  • Les offres d’EDF sont-elles toujours compétitives par rapport aux fournisseurs alternatifs ?
    EDF reste le principal opérateur des tarifs réglementés, mais d’autres fournisseurs proposent des offres indexées ou à prix fixes. Comparer régulièrement les conditions selon ses usages est recommandé.
  • Comment la CRE fixe-t-elle les nouveaux tarifs d’électricité ?
    La CRE s’appuie sur les coûts de production, les investissements du réseau (TURPE), les taxes et l’évolution du marché européen pour réviser les tarifs deux fois par an, en lien avec le gouvernement et EDF.
  • Quelles solutions pour limiter l’impact de la hausse sur ma facture ?
    Optimiser sa puissance souscrite, échelonner les consommations en heures creuses, investir dans des équipements efficaces et consulter régulièrement les aides du gouvernement (chèque énergie, rénovation) permettent de limiter l’augmentation de la facture.

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